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Cet album est un hymne aux grands-mères, à travers une petite fille qui parle de la sienne. C'est aussi un hommage à la vie. Séverine Thevenet nous livre ici les dessous d'une relation intime, privilégiée et inaltérable. Le texte, d'une grande sensibilité, est servi par une conception visuelle originale à base de photographies d'une marionnette.
Deux garçons jouent au château de sable sur la plage. La discussion s’engage autour de leurs papas. Vite, c’est la surenchère des exploits de ces papas extraordinaires. Jusqu’au moment où un des jeune garçon à court d’idée, cherchant toujours mieux pour épater son camarade de jeu dit : Moi, encore mieux… J’ai deux papas !
Un texte léger, drôle, mais efficace pour parler de l’exclusion et de la violence qu’elle peut générer, agrémenté d’un petit clin d’oeil sur l’effet « mayonnaise » que produisent parfois les médias sur certains faits divers.
Eloge poétique au gré des saisons et des ambitions de cette petite fleur bien souvent méprisée dont la beauté n’échappe pas aux enfants.
Souvenez-vous du premier bouquet que vous a offert votre petit(e) et de l’irrésistible envie de souffler les aigrettes.
Un pissenlit dans la ville
Entouré d’immenses murs gris
Se sent tout petit, petit.
Alors la nuit,...
Récit poétique, à travers les saisons, de la naissance à la métamorphose d’un épouvantail.
Le temps d’un été,
J’ai été blé doré.
Des mains m’ont moissonné :
Je suis devenu paille.
D’autres m’ont tressé :
Je fus épouvantail.
Epouvantail, quel drôle de métier ! Heureusement l’avenir réserve quelques surprises à notre épouvantail et ses ennemis par nature...
Devant le singe émerveillé, le boa prend la décision de se mesurer. Le singe propose de l’aider : Plie-toi en deux puis en quatre, c’est simple, ta taille est égale à deux fois ta moitié ou à quatre fois la moitié de ta moitié. Le boa n’est pas satisfait, il se sent entier et non pas moitié. Entrent en scène l’éléphanteau plutôt débonnaire et le perroquet...