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Je dormais. Je dormais depuis plusieurs centaines d'années, caché par une forêt de petits chênes, sur l'île de Porquerolles. Pauvre petit moulin en ruines. Oublié de tous. Oui mais voilà, un jour, je sentis comme un gratouillis dans mon ventre. Des hommes m'avaient retrouvé. Et ma restauration a commencé…
Un gros ours poilu, griffu, capable d’arracher une forêt, de dévorer le monde entier, peut aussi se faire tendre, même s’il doute de l’attitude à adopter pour le bien de son petit.
Magnifique récit du chemin qui nous mène vers l’autre, du silence qui précède la rencontre, de ce qu’il contient d’hésitation, de désir, de rêve.Un moment suspendu mis en peinture par Anne Brouillard dans un très subtil enchainement des ambiances et lumières de l’été.
“Lilia habitait cet été, la maison blanche, celle où personne n’habite sauf l’été. Une...
Eloge poétique au gré des saisons et des ambitions de cette petite fleur bien souvent méprisée dont la beauté n’échappe pas aux enfants.
Souvenez-vous du premier bouquet que vous a offert votre petit(e) et de l’irrésistible envie de souffler les aigrettes.
Un pissenlit dans la ville
Entouré d’immenses murs gris
Se sent tout petit, petit.
Alors la nuit,...
Récit poétique, à travers les saisons, de la naissance à la métamorphose d’un épouvantail.
Le temps d’un été,
J’ai été blé doré.
Des mains m’ont moissonné :
Je suis devenu paille.
D’autres m’ont tressé :
Je fus épouvantail.
Epouvantail, quel drôle de métier ! Heureusement l’avenir réserve quelques surprises à notre épouvantail et ses ennemis par nature...
Un texte poétique qui parle de l’amour, simple et si compliqué à la fois.
Un texte qui parle des émotions qui nous traversent chaque jour de notre vie et que nous prenons rarement le temps de dire et d’écouter. Des émotions qui souvent nous submergent mais nous construisent petit à petit et nous permettent de grandir.
Un livre pour ne pas oublier de dire...
Devant le singe émerveillé, le boa prend la décision de se mesurer. Le singe propose de l’aider : Plie-toi en deux puis en quatre, c’est simple, ta taille est égale à deux fois ta moitié ou à quatre fois la moitié de ta moitié. Le boa n’est pas satisfait, il se sent entier et non pas moitié. Entrent en scène l’éléphanteau plutôt débonnaire et le perroquet...